Des valses de Strauss, on en « voeux » et reveut

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 » Après force Polkas et Marches en tous genres, le concert se termine par deux bis : le Train de plaisir, dans lequel Marc Minkowski électrise son public puis une version chantée de la valse Wiener Blut interprétée avec une délicieuse profondeur par Lenneke Ruiten. Loin de clichés édulcorés du monde de Sissi, la danse viennoise retrouve ce soir sa place au rang des chefs-d’oeuvre du 19e siècle.  » Lire l’article

Gilles Mathivet, Les Affiches, 17 janvier 2014

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