» La magie wagnérienne vient aussi de la constante fusion entre voix et orchestre, celui-ci accompagnant le texte en le laissant libre : un art que Marc Minkowski domine dans les moindres recoins du spectre dynamique. Avec Dietsch, Minkowski se montre une fois encore le porte-drapeau d’un style qu’il connaît bien, entre Meyerbeer et Offenbach. La partition, plus légère et plus « lyrique » que celle de Wagner, bénéficie de la verve et de la vitalité des Musiciens du Louvre Grenoble. » Lire l’article
Gilles Mathivet, Les Affiches, 31 mai 2013
(crédit photo : Marco Borggreve)