Le Son du Ciel et des Ténèbres, quand le jazz rencontre le baroque

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 » Les Musiciens du Louvre Grenoble donneront corps au ciel, d’une certaine façon, car les cordes ont un son plus aérien. Outre l’excellence et la virtuosité du spetet à cordes issu de l’orchestre, il y a une raison toute simple qui est la proximité géographique. Or, nous n’avions jamais travaillé ensemble jusqu’à présent alors que nos deux formations résident dans la même ville depuis un certain temps.  » Lire l’entretien

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