La Périchole sans une ride

MDLG Actualités, Revue de Presse

« Entre les deux versions de l’ouvrage (1868 et 1874), un heureux mélange a été opéré, en particulier au dernier acte. On perd quelques morceaux, présents dans d’autres « intégrale s» (trio de la prison, chœur des patrouilles, ariette des trois cousines…), qui n’étaient pas du meilleur Offenbach, en gagnant en vivacité. Derrière ces choix, se devine la volonté de l’excellent Marc Minkowski d’enlever toute ride à un « opéra-bouffe » qui, depuis sa création, n’a guère quitté l’affiche. »

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Opéra Magazine – 01.09.19

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