Mozart et Beethoven en 1790

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L’Air de Pamina est extrait du dernier opéra de Mozart, La Flûte enchantée, créé en 1791.
Les paroles illustrent la souffrance de l’héroïne Pamina qui croit que Tamino ne l’aime plus. Son amoureux est en fait seulement sous un vœu de silence, ordonné par des prêtres mais Pamina l’ignore.
« Ah, je le sens, elle est évanouie, à jamais évanouie, la joie de l’amour !
Jamais plus, instants de bonheur, vous ne reviendrez en mon cœur ! »

Durant la même décennie que la création de La Flûte enchantée, Beethoven, alors âgé d’une vingtaine d’année, compose 3 duos pour basson et clarinette : le premier en do majeur, le second en fa majeur et le dernier en si bémol majeur. Le jeune compositeur écrit alors dans un style encore très classique, proche de celui de Mozart. Jean Brégnac et Pierre Charles proposent une version où la partie de clarinette et jouée par la flûte et celle de basson, par le violoncelle.

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© Klackner

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